Pour le PLR, le travail se fête tous les jours

La paix du travail, le marché de l'emploi, la compétitivité et la stabilité font la prospérité des Suisses

Pour le PLR.Les Libéraux-Radicaux Vaud, le 1er mai, comme tous les jours de l’année, le travail et la stabilité du marché de l’emploi méritent d’être fêtés. Compte tenu du contexte économique pour le moins alarmant des pays occidentaux, la Suisse et le canton de Vaud font exception. Notamment grâce à un taux de chômage comparativement bas. Tandis que certains pays du Sud de l’Europe affichent un taux de chômage chez les jeunes de 18 à 25 ans allant jusqu’à 57%, notre jeunesse a, quant à elle, toutes ses chances. Le PLR s’engage au quotidien pour que le canton de Vaud continue à offrir à notre jeunesse, mais aussi à l’ensemble de la population, liberté de choix, emploi stable et bon niveau de vie. Ceux qui sont dans la précarité ne sont pas oubliés. La bonne santé du canton leur offre un large filet social.

Pour que cette situation perdure, il convient de maintenir la paix du travail que nos voisins nous envient. Cette paix du travail passera, comme par le passé, par des conventions collectives et non par la rue. S’il est vrai qu’il n’y a pas d’économie sans travailleur, il n’y a pas non plus d’emploi sans entrepreneur. A ce titre, il faut maintenir les conditions cadres qui permettent à l’esprit d’entreprise de se réaliser. A cela s’ajoutent la maîtrise des charges pour le canton et l’encouragement de l’esprit d’entreprise pour conserver notre tissu économique et notre système social performant. L’installation constante de nouvelles entreprises, annoncée cette semaine dans le canton, grâce à la promotion économique est réjouissante. Tout comme la stabilité des exportations cantonales, confirmée hier. Ce sont autant d’éléments qui expliquent pourquoi notre canton fait partie des régions affichant la plus haute croissance de Suisse. Dans ce contexte, prôner la décroissance, comme le font les partis verts, est tout simplement irresponsable. Tout comme s’attaquer au système des exonérations fiscales, qui garantit la venue d’entreprises contributrices. Enfin, les initiatives de la gauche « 1 :12 » et « pour les salaires minimaux » ne constituent pas les bonnes solutions. Elles ressemblent fort au « valium » que décrit le président du PS Suisse, aujourd’hui, pour «calmer une colère populaire». Aujourd’hui, au lieu de fustiger le système, il convient de fêter véritablement le travail et la situation privilégiée de notre pays.


Contacts

Frédéric Borloz, président du PLR-Vaud, +41 79 204 43 30
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