Pour que cette situation perdure, il convient de maintenir la paix du travail que nos voisins nous envient. Cette paix du travail passera, comme par le passé, par des conventions collectives et non par la rue. S’il est vrai qu’il n’y a pas d’économie sans travailleur, il n’y a pas non plus d’emploi sans entrepreneur. A ce titre, il faut maintenir les conditions cadres qui permettent à l’esprit d’entreprise de se réaliser. A cela s’ajoutent la maîtrise des charges pour le canton et l’encouragement de l’esprit d’entreprise pour conserver notre tissu économique et notre système social performant. L’installation constante de nouvelles entreprises, annoncée cette semaine dans le canton, grâce à la promotion économique est réjouissante. Tout comme la stabilité des exportations cantonales, confirmée hier. Ce sont autant d’éléments qui expliquent pourquoi notre canton fait partie des régions affichant la plus haute croissance de Suisse. Dans ce contexte, prôner la décroissance, comme le font les partis verts, est tout simplement irresponsable. Tout comme s’attaquer au système des exonérations fiscales, qui garantit la venue d’entreprises contributrices. Enfin, les initiatives de la gauche « 1 :12 » et « pour les salaires minimaux » ne constituent pas les bonnes solutions. Elles ressemblent fort au « valium » que décrit le président du PS Suisse, aujourd’hui, pour «calmer une colère populaire». Aujourd’hui, au lieu de fustiger le système, il convient de fêter véritablement le travail et la situation privilégiée de notre pays.
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