Pour le PLR, le travail se fête tous les jours

Fêter le travail, c’est encourager l’emploi plutôt que de le fragiliser

Si la gauche choisit le 1er mai pour fêter le travail, le PLR considère que la défense de l’emploi mérite d’être célébrée tous les jours de l’année. Le PLR s’engage au quotidien pour que le canton de Vaud continue à offrir à sa jeunesse, mais aussi à l’ensemble de sa population, liberté de choix, emploi stable et bon niveau de vie. Ceux qui sont dans la précarité ne sont pas oubliés. La bonne santé du canton leur offre un large filet social. Un rapide regard sur le difficile contexte économique de l’Europe doit nous encourager à ne pas scier la branche sur laquelle nous sommes assis. Bien au contraire, nous devons nous montrer compétitifs. Tout le contraire de ce que recherche la gauche, qui n’a de cesse de tenter d’affaiblir notre marché du travail. Pour que cette exception économique perdure, il convient de maintenir la paix du travail que nos voisins nous envient. Cette paix du travail passera, comme par le passé, par des conventions collectives et non par la rue. Initiative après initiative le PS et les syndicats tentent d’affaiblir notre économie. Passé, le net rejet de l’initiative 1 :12, ils reviennent le 18 mai avec l’initiative sur le salaire minimum. Et quel que soit l’issue du scrutin, nous devrons encore nous exprimer sur le revenu de base inconditionnel. Autant de textes dont les effets péjoreraient l’emploi dans son ensemble.

Salaire minimum : en cas d’acceptation, l’initiative aurait des effets néfastes pour les jeunes et les travailleurs peu qualifiés. Le salaire minimum constituerait une porte ouverte aux stages à répétition et au travail à durée déterminée. Il pousserait de nombreuses personnes au chômage et ne contribuerait qu’à niveler par le bas les salaires d’une grande frange de travailleurs. Il faut donc refuser cette dangereuse initiative.

Lavaux III : sous couvert de protection jusqu’au-boutiste de l’environnement, cette initiative péjorerait le cadre de vie de toute une population. Elle menacerait surtout toute une profession. Les vignerons doivent pouvoir continuer à exercer leur travail dans des conditions modernes. Le 18 mai, il faut donc soutenir le contre-projet qui permet de concilier gestion du territoire, vies locale et économique, puisqu’il répond aux difficultés des vignerons, tout en réduisant les zones à bâtir. Le contre-projet protège l’activité sans laquelle ce site exceptionnel ne serait pas ce qu’il est.

Fiscalité des entreprises : s’il n’y a pas d’économie sans travailleur, il n’y a surtout pas d’emploi sans entreprises et entrepreneurs. Le taux proposé par le Conseil d’Etat permettrait de garantir la compétitivité du canton, d’offrir une fiscalité attrayante pour les entreprises et, par-là, de maintenir les emplois essentiels pour la population. Une nouvelle fois le PS rechigne à défendre l’économie du canton et pré- fère mener une guerre de retard à l’encontre des entreprises.


Contacts

Frédéric Borloz, président du PLR Vaud, +41 79 204 43 30
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